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Un passe temps inné?
15/04/2013 07:55
Nombre d'entre nous le font à leur manière. Cela dépend moins des années écolières que des autres… buissonnières qui nous forment à la vie, nous façonnent, en fonction de ce que nous rencontrons de petits bonheurs. Les grands malheurs nous différenciant petit à petit.
"La mémoire se perd. Mais l'écriture demeure" dit un proverbe oriental.
Louis Aragon nous confiait "Tout ce qui s'écrit continue de vivre dans l'absence".
Il y a moult manières d'écrire. On peut choisir de rédiger un journal. Se remémorer ses mémoires… Sous forme de roman autobiographique. Ou comme moi s'attacher à créer de visu, une sorte d'autofiction du vécu. Créer un ou plusieurs livres qui s'apparentent d'avantage au conte moderne qu'à des écrits volontairement visionnaires, fantastiques.
Et vous... Comment écrivez-vous?
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À chaque instant
15/01/2013 19:01
À chaque instant qui fait chaque jour différent, je passe en revue ma vie, Je l’explore et je la redécouvre. Des musiques d’aujourd’hui me transportent encore ailleurs comme le faisaient celles d’autrefois, car depuis toujours des voix d’ailleurs me touchent et me parlent : m’entrainant au-delà de leurs langages apocryphes. Sans comprendre un traître mot, j’ai pourtant le sentiment d’en saisir l’essence. Je refuse toute traduction qui ne serait mienne, de peur d’être déçu. Je préfère voyager léger et libre, transporté par le fil de mes nuages pelletés, eux-mêmes échevelés par les fils d’Eole. je suis leur voie fluctuante, en attendant une autre… à l’entrée d’un vortex.
Au début, ce que je percevais me faisait peur car je le concevais porté par des ondes négatives. Ainsi, un jour de juillet 1957, je m’étais assis dans l’herbe du plateau de Berthaucourt qui dominait l’agglomération de Charleville-Mézières. C’était en un temps où aucune autre construction ne le voisinait. Cela faisait 11 ans qu’un mémorial y avait été érigé à l’endroit même où furent fusillés tant de résistants ardennais. Des parcelles de terre, prélevées dans tous les hauts-lieux de la Résistance ardennaise, mais aussi des cendres et des ossements recueillis dans les camps de concentration avaient été déposés dans un cénotaphe au pied du mémorial, et ma méditation s’assoupissant j’ai vu du sang bleu en sortir et entendu des voix supplier. Il m’était doté à ce moment-là de deux yeux et deux oreilles extrasensorielles qui une autre fois dans ma vie m’avaient déjà instruit de ce que d’aucuns ne sauront jamais voir, sauf à pénétrer dans l’autre dimension.
Je suis de ceux qui voient différemment, et je vous avoue que ça n’est pas une faculté que je souhaite aux gens que j’aime. Le grand, le petit, la courbe, la ligne, la couleur, l’ombre et la lumière : tout me prête à percevoir autrement… bien peu de choses échappent à mon regard boulimique. La photographie mentale me permet d’en figer le temps de pause. Ceci me donne celui dont j’ai besoin afin d’examiner la trace qu’il laisse en passant. Je médite sur un paysage ou sur un visage, et c’est alors que le plus petit détail prend toute son importance.
Aujourd’hui, je suis en passe de réaliser l’un de mes plus grands rêves. Celui de terminer un troisième livre roman dans lequel je dévoile une conception du monde que ne savent plus voir nos sens lambda.
Mon but : stimuler ceux de mes lecteurs potentiels.
Pourquoi?
Parce que je suis convaincu que le sentiment d’amour offre le meilleur de ses sens lorsqu’il est éclairé par la lumière des justes.
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Choisir un style
23/11/2012 12:06
Tout peut prêter des outils. Il importe avant tout d'opter pour le faire-savoir qui correspond le mieux à l'expression de son identité... Le savoir-faire s'apprenant en second du premier.
Je me suis essayé au dessin, au modelage, à la peinture, au chant, au théâtre, à la pratique instrumentale, à la photographie, et que sais-je encore… la liste ne saurait être exhaustive puisque tout m’intéresse.
En fait, nous sommes tous des apprentis-découvreurs si l’on se réfère à l’autodidaxie permanente qui se substitue généralement à des études écourtées par la nécessité de ramener très tôt le salaire qui aide au sein des familles pauvres (j’ai touché mon premier salaire à l’aube de mes 16 ans).
Il résulte de cela un sentiment éclectique d’écriture atypique, car nullement universitaire, qui peut rebuter des puristes qui accepteraient lire de moi quelques lignes. Cependant, il me semble que chacune et chacun qui trouve du plaisir à écrire doivent s’attacher à préserver leur propre style.
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Mais vous... Comment écrivez-vous?
19/10/2012 09:51
L’on me considère pour être un auteur ~certes amateur~ mais tendrement visionnaire…
Arthur Rimbaud, Émile Nelligan, Victor Hugo, et bien d’autres pouvaient être considérés ainsi pour avoir écrit quelques textes visionnaires. J’entends cela comme le fait d’écrire un texte dont l’extrême sensibilité se constate non seulement dans, mais aussi, entre les lignes. Ces poètes et écrivains que je cite, ont su montrer des images qui, loin d’être folles, pouvaient aisement nous entrainer à côtoyer les mondes peu ordinaires qui sont les leurs.
Si nous lisons un auteur de « fantasy », nous admettrons que ses visions sont souvent proches du surnaturel, mais sans plus. En revanche, s’il s’agit d’un texte imaginé par un auteur qui possède l’intuition de l’avenir, et qui de surcroit emploie son magnétisme psychique et naturel (nous en avons tous, il suffit de le travailler) et des connaissances approfondies de parapsychologie pour écrire autrement ce que l’auteur de fantasy invente complètement, ~quitte à sombrer dans l’absurde~, cette fois, l’on pourra parler d’auteur visionnaire.
Imaginez que comme un peintre, vous alliez vous installer au cœur de n’importe où, pour méditer l’instant en pleine conscience de ce qui vous entoure, et qu’une fois imprégné (e) du champ vibratoire qu’émet ce lieu, vous laissiez votre intuition guider votre main sur la toile… Mais votre « truc » c’est décrire… Alors, au lieu du lin vous aurez choisi le papier, en guise de pinceaux et spatule, votre stylo-bille exprimera votre pensée profonde de façon spontanée. Il ne vous restera plus qu’à transposer votre ébauche dans votre Word pour en peaufiner les détails…
C’est ainsi que j’aime travailler… Mais vous, qu’en pensez-vous ?
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Prendre ses marques
05/10/2012 18:42
Voici ma réponse au commentaire de cathy7302 (04/10/2012 23:02) , qui dit ceci :
« Bonsoir mon ami, je pense que toi tu es un merveilleux écrivain, douce nuit, Kty »
Je vous invite en passant, à vous rendre chez elle, son blog regorge d’émotion et d’humanisme :
http://cathy7302.vip-blog.com/
Ainsi, je pense pouvoir dire que j’écris selon un concept qui, me correspond. Alors, certes, ça peut plaire ou déplaire. Tout dépend évidemment des sensibilités que rencontrent mes mots.
En fait, il se trouve que j’ai commencé par écrire des poèmes en m’inspirant à la fois du style « classique » de mes ainés (puisque tel fut l’enseignement que j’ai reçu dans les années 60) et en m’efforçant de répondre à celui résolument moderne (populairement simplifié) qui se lit et se diffuse largement aujourd’hui. Et puis, ayant fait à peu près le « tour », je me suis mis à l’écriture proprement dite, romancière. Cela explique certainement la tendance romantique qui se voit clairement dans ma prose.
Si l’on admet aussi que pour écrire, il suffit moins de savoir que d’avoir vécu ce que l’on tente de communiquer, alors oui, puisque je dispose d’un don inné pour percevoir le « merveilleux » qui m’entoure, je peux probablement donner cette impression à d’autres… à condition toutefois que ces autres acceptent d’y croire pour le percevoir à leur tour par l’intermédiaire du « sixième sens ».
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Le faire avec style
04/10/2012 08:58
Proposer un roman de belle facture est une chose. Écrire en est une autre et c'est tant mieux, car il convient en premier d'intéresser non seulement des lecteurs de tous niveaux, mais aussi de se donner du plaisir par ce moyen d'expression.
Du moment que le patrimoine linguistique dont on use est respecté, l'on peut parler de littérature. Pour le reste c'est une question de choix personnel... Tout dépend de la culture générale et du quotient intellectuel dont chacun dispose.
En poésie, tout peut sembler différent, car le facteur artistique contemporain à la mode prévaut souvent.
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