"Erzeré-Gabryel connaissait l’existence de l’amas galactique pour en avoir été informé dès le début de leur voyage par le dieu Gduisgraïl qui communiquait avec lui par télépathie. Celui-là était gouverneur de la septième planète et supérieur à ses frères en tant que Premier Fils. Le grand dieu Gduisgraïl était donc potentiellement d’accord pour recevoir les dieux de lumière ambassadeurs accompagnés de leur déesse protectrice. Chacun cependant avait compris que de toute manière nul ne pourrait entrer ni sortir de la galaxie du Très-Haut des ténèbres sans auparavant s’adresser au « Passeur » que représentait le dieu Pfelproton. Déroger à cela étant probablement le meilleur moyen de déclencher délibérément une nouvelle guerre des dieux… un nouveau chaos des titans !"

Comme vous l'avez certainement deviné, ceci est un court extrait du tome III ( en cours d'écriture) de ma saga "LE PELLETEUR DES NUAGES".

Pourquoi l'avoir déposé dans cette rubrique me direz-vous? Et là je vous répondrai en sachant que lors de l'entrée dans la capitale aztèque le 8 novembre 1519 d'un certain  Cortés , Moctezuma l'avait accueilli comme un dieu, et que ceci entre autres preuves, me permet d'envisager des scénarios similaires, non pas à l'image d'un continent terrien, mais cette fois à celle d'une possible exoplanète habitable.

Quoi de plus normal pour un « Pelleteur de nuages » que de s’intéresser à la grande tache rouge de Jupiter, un cyclone grand comme deux fois notre planète et qui se déchaîne depuis plusieurs siècles. Cette image qui accompagne mon billet, est une version numériquement améliorée d’une photo prise en 1979 par la sonde Voyager 1 (Crédit photo : Nasa) Cela pour vous dire que dans mon roman, cet objet qui aurait pu devenir un soleil retrouve tout l'intérêt mythologique qu'il suscita autrefois. En effet, il fut écrit que Jovis était le dieu romain qui gouvernait la terre et le ciel, ainsi que tous les êtres vivants s'y trouvant. Il figurait aussi le père des dieux. Je lui ai donné pour Fils : Gabryel, un dieu de lumière chargé de veiller sur l’humanité… Jupiter, que j’ai renommé Junyather aurait eu  pour attributs l'aigle et « le foudre » (nom qui est du genre masculin dans ce cas). Il est assimilé à Zeus chez les Grecs et à Dyaus Pitar — parfois Shiva — chez les Hindous. 

Re Commentaire de francettedenbas (05/10/2012 23:24) :

« Bonjour. Je suis pour ma part persuadée que( nous ne sommes pas seuls; que notre vie corporelle n'est qu'une partie de nous. »

http://francettedenbas.vip-blog.com/

En effet, si mon leitmotiv n'a rien -tant s'en faut!- de l'image musicale que présenta Richard Wagner le 22 janvier 1843 lors de la première du "Vaisseau Fantôme" à Dresde... Néanmoins, ce que j'écris à propos d’une possible intelligence qui serait aussi avancée, sinon plus que la nôtre est le fruit de toute une vie d'observation profonde qui s'est faite en passant par des plans méditatifs plus ou moins profonds. J’ajoute que je n’exclue rien des perceptions parapsychologiques généralement admises des grands scientifiques d'aujourd'hui.

Évidemment, tout ce que je proposerai ici, tant en prose qu'en poésie sera fatalement imprégné d'expériences personnelles doublées de connaissances très étudiées. C'est pourquoi je m'adresserai le plus souvent à un public plus "initié" que fondamentalement populaire. Reste le fait positif suivant: dès l’instant ou quelqu’un prend part à ce partage, comme francettedenbas en témoigne par son commentaire, cela prouve que d’autres que moi ressentent parfois les effets de ce genre de questionnement existentiel.

Par-delà le fait que l’on s’accorde à dire que la vie qui fut aquatique en premier sur la terre est probablement le fruit de bactéries contenues dans des météorites de glace. Nul ne peut actuellement affirmer si certaines civilisations ne sont pas issues d’autres venues de l’espace. Les archéologues ont découvert, notamment en Egypte et au Mexique,  des messages pour le moins troublants. Et puis la science, bien que s’acceptant aujourd’hui en profonde mutation recherche toujours le « maillon » qui permit qu’un groupe d’hominidés s’est vu obtenir une faculté décisive à son évolution : la cognition.

À Charleville-Mézières, ma ville natale, nous savons qu’Arthur Rimbaud, tout comme Victor Hugo, ou encore Emile Nelligan ont pratiqué le spiritisme avec succès car faisant appel  à leur sensibilité innée.

Depuis toujours, ce sont les émotions qui ont le plus inspiré les artistes. Le fait qu’ils émettent des messages par l’écrit, la voix, le dessin, la sculpture etc. est la preuve que la méditation ouvre des portes insoupçonnées.  Alors, quelles que soient nos ambitions, que nous le voulions ou non, nous jouons un rôle dans l’évolution cosmique.

Nous ne sommes peut-être qu'un élément d'une partie matérielle animée qui serait utile à donner corps à cette énergie que je sais manipuler pour soigner les animaux. D'autre part, le cosmos est si vaste avec ses milliards de galaxies qu'il est impensable qu'un autre type de vie intelligente ne se soit pas développé ailleurs que sur notre planète.