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LE PELLETEUR DE NUAGES
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LE PELLETEUR DE NUAGES

VIP-Blog de le-pelleteur-de-nuages
  • 11 articles publiés dans cette catégorie
  • 407 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 29/08/2012 20:21
    Modifié : 07/08/2021 16:47

    Garçon (0 ans)
    Origine : Ardennes
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    [ PLAISIR D'ÉCRIRE ] [ LE PELLETEUR DE NUAGES TOME I ] [ Méditons ensemble... ] [ Sommes-nous seuls? ] [ Ma Poésie ] [ Présence animale ] [ Mon premier roman ] [ Vous avez dit Poète ? ] [ Beaucoup de vous, pour un peu de nous ] [ Dans mon jardin ] [ Présentation ]

    Le Yin et le Yang

    07/08/2021 16:47

    Le Yin et le Yang


    Ce qui est vu grand est suprême d’alternance:

    Les contraires s'accordant en leur influence.

    Ceux-là font comme autant dans le ciel et sous terre:

    Le chaud et le froid, jour ou nuit, été hiver…

    Vision de l’homme, est principe en sa conduite:

    De prophète en loi foi, naît doctrine susdite.

    D’idéal confucianiste héréditaire,

    Jouant encor le rôle d’intermédiaire,

    Se voient au livre sacré des mutations,

    Métaphoriques en leur formulation:

    Des lignes ointes et de savants diagrammes

    Que le sage voit superposés en trigrammes.

    L’être né de formation dans l’univers,

    Subsiste à la dissolution de l’éther;

    Si celui-là vit sans dépérir, ni vieillir:

    Il est solide et convergera sans faillir!

    Force d'amour, brave rudesse malhabile,

    D’union qui par la femme s’offre fragile…

    Si la vision montre par une autre image,

    Hors de l’ordre naturel, c'est une autre page!

    Dans l’éternité concordante du perçu,

    La Terre fait centre transcendant par l'influx…

    Mais l’état du désir contemple son transfert;

    Dans l’obscur, l’immense s'assombrit de mystère.

     

    RHD








    Première Convergence.

    05/06/2014 17:50

    Première Convergence.


    Au commencement absolu, l'invisible ;
    Aucun nom, aucune chose de sensible ;
    Lorsque se dévoile le vide sans norme:
    Le rideau s'ouvre sur l’entité sans forme.
    L'Esprit qui but à la source de l’univers,
    Puisqu'il est venu d’un loin point noir du néant,
    Habiter Gaïa quand fut l'astre exubérant:
    Préparait un monde au destin embryonnaire…
    L’indiscernable est né d’indicible lumière:
    Béni soit celui qui crée un Ciel sur la Terre!
    Divinité: viens-tu du val de Lao Tseu?
    Pour la vie, le yin, le yang, l’eau dans le feu?
    Serais-tu de la Première Convergence?...

    RHD








    Contresens?

    28/05/2013 08:15

    Contresens?


     


    Ta main me cache d'un autre
    Tu me voudrais bon apôtre
    Mais ne suis que mensonge incertain
    Mis à nu: comme accroche chagrin

     

    Quand le rêve est en vacances
    Douce princesse est partance
    Et l'absence nuit l'autre délit
    Qui se vautre la nuit dans mon lit


    Je m'habille en misérable
    D'un sentiment vulnérable
    Je babille et franchis la barrière
    Bitumée improbable routière


    Puis véhicule en navire
    Sur le ballast du pire

    Torrée l'animal contresens
    Qui trop frôle mon cap d'espérance

    Ta Main fit cache d'un autre
    Qui se crût né bon apôtre

    Mais j'ai déraillé en désappris
    Hors le voyage dans mon esprit.

     

    RHD








    Enfants Blessés...

    30/03/2013 20:28

    Enfants Blessés...


    ( haïku rapport 5/7/4)

     

    Enfant d'Arménie:
    Au cœur d'un reg solarium.
    Enfant blessé!

     

    Mourant contrejour,
    Contraste le clair-obscur
    D'un rai précieux.

    Amante Mante.
    Religion parfois cruelle.
    Cœur dévorant.

    Trébuchet piégeur.
    S'assassine l'Artiste.
    Oiseau-lyre.

    L'enfant s'étiole:
    Emprisonné par le ciel.
    Perlé bleu- gris.

    Sanglots à jamais.
    Évanescence et chagrin:
    Pour du sable.

     

    RHD








    Un Songe... Creux ?

    27/02/2013 16:52

    Un Songe... Creux ?


     

     

    Lorsque perclus mon corps sera usé,

    Plus d’aura ni d’esprit désabusé.

    Alors je partirai

    Pour un pays distant,

    Que vous ne sauriez voir !

     

    Une lune inspirée lumière froide,

    Éclairera peut-être mon corps roide.

    Mais de splendeur sera

    Mon coucher de soleil,

    Que vous ne sauriez voir !

     

    Larmes d’automne dépouillant les feuilles,

    Viendront geler parmi les vents des deuils.

    Mais au printemps sucré

    Je vivrai dans l’herbe,

    Que vous ne sauriez voir !

     

    Reine des glaces, princesse des neiges ;

    Quand vous exhumerez vos sortilèges :

    J’aurai trouvé la voie :

    Le Dào de Lao,

    Que vous ne savez voir !

     

    RHD








    À Quand d'Autres Admirables ?

    26/02/2013 11:23



    Vois-tu cette mouvance sur le sable brûlant?

    À la croisée des chemins…
    Le Ciel rallume une flamme.

    Mais le sombre ne se peut connaître s’il élève,
    Emportant haut sur le vent les nuées d’horizons,
    Ce supérieur qui a l’apparence du sot qui rêve,
    Mais n’est guère que plénitude intérieure de chiffons.

    Âmes pures, la rustique existence m'est innée.
    Mais si l’idiosyncrasie d'homme nie l'égoïsme :
    Bien sage qui fuira l'honneur de mon monde bourbier,
    Pour un autre né métaphorique en gongorisme.


    Or, de ceux dont je parle, s'il ne reste que propos,
    C’est que leurs ossements sont tombés dans la poussière...

    Mais il n'est plus temps de décrire encore mes mots
    Bien qu'offerts par une Femme d'école légendaire...

    Alors, si mon cœur vous irise philosophique:
    C'est métaphysique élaboration de par lui.
    Car l’être bon reconduira l’ami sympathique,
    En lui offrant des paraboles étoilées de nuit.

    Mais plutôt que d’ordalies fort moyenâgeuses,
    S’il est de fuir un monde éphémère trop passager:
    De toutes ces choses visibles mais non vertueuse,
    Il ne restera que vent qui court à sa fin sans présager.

    Le Magistère Suprême regarde la terre:
    Mais il n’y voit bien trop clair que légats de Satan!

    Ô sages, et vous, vénérables preux: pourquoi cette guerre?
    Pourquoi ces royaumes combattants, édifiés décadents!
    N’est-il plus rien de force, en l’ascétisme spirituel,
    Qui puisse en perfectionnement rendre la raison?

    Alors!

    À quand d'autres messies, pour assister nos dieux?
    À quand d'autres admirables...
    Mourants encore pour contrer l’anathème éternel?

    RHD
     








    Plus rien que murs de pierres...

    29/01/2013 16:32

    Plus rien que murs de pierres...


    Vous qui vivez d'abondance par votre seule générosité,
    Me direz-vous si l'âme en nous sait notre prodigalité?
    Certes, sans cette autre nature qui s’attelle au défi,
    Quel monde écervelé aurions-nous donc à l'esprit?

    L’on sait pourtant qu’ici-bas bien des actions déférentes:
    Se font et se défont en parallèle de celles exubérantes.
    Mais aujourd’hui sur la Terre bleue quand l’humble se meurt :
    Qui donc s’inquiétera moins du champ que du  semeur...

    L’amour du prochain ne va plus du proche aux proches.
    Il s’étiole ! Le don de soi ne franchit plus les porches,
    Mais toi! Oui toi, Dame Faux: choisis-tu  bien tes épis?
    Ou ignares serais-tu, au point de couper net l'épris !

    Sur la Terre délabrée naissent encore des enfants.
    D’aucuns seront poètes, regardant la nuit et rêvant.
    Saviez-vous que leurs âmes ont de bons tours d'esprit?
    Vous acquiescez ? Alors, pourquoi nier celui qui s’écrit?

    Dans le bastion des ailleurs le jeune Rimbaud ton aïeul,
    Vibre encore par l’esprit qu’il voit couché dans les glaïeuls.
    L'exploitation outrancière du lieu en a tari leur eau pure,
    Toute source financière ne se pare vraiment de guipure !

    Alors, si quand devenu lointain ne musardera plus l'hier,
    C’est que ma mie, demain plus de lézardes sous le lierre.
    Sinon que celles des tombeaux qui dorment sans prières.
    Tandis que dans les cœurs : plus rien que murs de pierres.

    RHD








    Au-delà est l?Amour

    28/11/2012 11:01

    Au-delà est l?Amour


     

    Où es-tu doux poète, où es-tu?
    L’horizon flamboyant m’est écrin.
    Que vois-tu dans ton ciel, que vois-tu?
    Laube fleur qui dilue des chagrins.

    Bien au-delà de l’amer …
    Bien au-delà de la terre …

     

    Qui connait, bien ses jours et ses âges,
     Ne s’y perd sans gagner d’avantage.
     La folie fait partie d’un voyage,
     En détour de nos livres d’images :
     C’est marque page en nos mirages.

    Bien au-delà gît l’histoire …
    Bien au-delà accessoire …

     

    Que crois-tu doux poète, qui crois-tu?
    L’esprit donne confiance en demain.
    Où est « il » selon toi, où vit « il? »
    Nos consciences lui donnent la main.

    Bien au-delà le destin …
    Bien au-delà ne s’éteint …

     

    Même la fin ne saurait décevoir,
    À meurtrir sans le pourtant vouloir.
    Quand ta vie s’enfuira dans le vent,
    Que ton corps s’enfouira au néant :
    Ton esprit restera lien vibrant.

    Bien au-delà des serments …
    Bien au-delà des vivants ...

     

    Où vas-tu doux poète, où vas-tu?
    Je m’en vais mais je suis prés de toi.
    Que veux-tu doux poète que veux-tu?
    Te donner, du bonheur et la foi.

    Bien au-delà de l’étrange …
    Bien au-delà des louanges …

     

    Quand sourit le bonheur qui dérange,
    Il porte le sentiment d’un ange.
    Le génie, a le cœur d’un Archange,
    Sa lumière enfante la louange,
    Des émois quand chante la mésange.

    Bien au-delà de l’échange …
    Bien au-delà l’eau du Gange …

     

    Qui es-tu doux poète, qui es-tu?
    En mon nom, la lumière fait tes jours.
    M’aimes-tu doux poète, m’aimes-tu?
    Je t’adore, car mon nom est Amour !

    Bien au-delà des toujours …
    Bien au-delà du glamour …

     

    Robert Henri D.                         








    L'enfant dieu.

    12/10/2012 19:39

    L'enfant dieu.


     

    Une fée invisible à déposé le miel,

    D'un ingénu baiser sucre d‘orge arc-en-ciel,

    Aux commissures de mes rêves souriants,

    Tandis qu'un ange blanc annule l'espace-temps.

     

    Des ondes lumineuses glissent sur un berceau;

    Une lune indiscrète écarte des rideaux;

    Changeantes dentelles comme  algue vermeille,

    Les yeux écarquillés,  l'enfant dieu s'émerveille.

     

    Des nues interstellaires courent échevelées

    Parmi l'éther, belles licornes écervelées...

    Ravi,  je cueille les électrons d'une étoile:

    Pour nourrir d'énergie mon enfant sidéral.

     

    Demain, en approchant mon mur de la lumière,

    Votre courbe d'existence trop coutumière,

    Fléchira sous des forces pacificatrices:

    Et  le fils de l'homme oubliera ses cicatrices...

     

    Robert-Henri D.








    FEMME... Ô FEMME

    09/10/2012 16:43

    FEMME... Ô FEMME



    J’aimerais tant vivre mon rêve,

    Avant que mon tour ne s’achève.

    Avant la chance desservie…

    J’aimerais rencontrer ma vie…

     

    Mais femme, ô ciel, triste destin,

    Quand l’orage te fait chagrin,

    Sur mes yeux fond ton charme,

    Dieu m’efface, il me désarme.

     

    Lors, si je perds tout du combat,

    Mon âme en ploie sous le bât !

    Sans l’épique de ce qui fuse,

    Plus de merveille, plus de Muse.

     

    Or je te sublime ô ma Femme,

    Quand tu réanimes ma flamme.

    Magnificence en l’exutoire,

    Tu nais de force absolutoire.

     

    De mes péchés spirituels…

    Te voici l'Archange éternel.

    Ô ma Gardienne, ô suprême,

    Délivre-moi de l’anathème.

     

    Par Dieu ma belle conquérante

    Contre tous démons tu me hante !

    Archange-fée magnanime :

    Qui connais bien ce qui m'anime.

     

    … Ô femmes

     

    Le cœur de l’homme est troubadour,

    S’il chante ton couplet d’Amour…

    Dans le premier bonheur du jour

    Rose tendre nait pour son secours...

     

    … Ô ma femme...

     

    Toi qui souffles sur mes nuages

    Pour dévoiler d’autres mirages?

    Marcherais-tu dans mes déserts

    Suivant des pas nus syllabaires?

     

    Apprendrais-tu si bien aussi,

    Tous ces mots bleus que j’associe,

    Pour pigmenter la belle image,

    Que je peins pour te rendre hommage?

     

    Serais-tu prête à partager,

    Jusqu’à ne rien d’autre penser,

    Que même regard même idée,

    Qui fera naître l’orchidée?…

     

    Si d’aventure c’est cela,

    Qui ouvre ton cœur et tes bras,

    Alors tu banaliseras,

    L’énigme de Mona Lisa !

     

    RHD






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