LE PELLETEUR DE NUAGES
(Trilogie)
Depuis le XIXe siècle, la propriété littéraire et artistique fait l’objet d'une réglementation mondiale : cette œuvre à fait l’objet d’une déclaration, elle est donc protégée selon ces normes.
Robert-Henri D.
LE PELLETEUR DE NUAGES.
1er Tome : Les dames de la forêt ardennaise
L’image intemporelle semblait s’être directement incarnée depuis la glaise. C'était un peu comme si cela avait surgi de la poussière cosmogonique qui soudain serait mouillée par les eaux de sa propre matrice. Introduction. La formation de nouveaux corps célestes l’attestait, une ombre allait bientôt s’accoupler à la Lumière…
Lucien leur montrait certainement l'image claire d'un obscur poète de "quatre sous" au tempérament bien trempé. Il est à reconnaitre en cela que notre ami passera aussi pour être un trublion râleur quelque peu déjanté. C'est un rêveur: il croit à sa manière, à des vertus depuis longtemps dépassées. Cela s'explique peut-être par le fait qu'il aime participer à des compagnonnages imaginaires, qui seraient jugés libertins par d’autres que lui qui s’y aveugleraient. Lucien y sait voir autrement qu'eux le doux scintillement virginal des belles histoires. Celles-là même, qui se trouvent affichées, non pas en pleine page des revues ordinaires, mais secrètement calligraphiées sur la tranche méticuleusement dorée de chacun des feuillets qui composent jour après jour le grand livre de la vie cosmique. S’apercevant en premier dans ses ailleurs, notre parangon de probité, devra donc se montrer à des yeux lecteurs de chapitres imprimés. Pour être entièrement conscient de sa pleine conscience, vous conviendrez d'un être généreusement méditatif et contemplatif. Extatique en idéaliste périmé, notre rêvasseur-rêveur et un songe-creux…, quoique certainement utopiste: c'est ainsi qu'il vous apparaitra le plus souvent… en possible visionnaire. De fait, cet humain serait donc, aussi nommable qu’en Québec un « Pelleteur de nuages » ! Et ce n’est pas peu de le dire! Selon l'essence naturelle de sa présumée première féconde – La Terre – (qu'il se plait à présenter en entité – Gaïa –) ce poète minuscule, se débrouillera tout de même pour réécrire l’histoire des "Dix Mille Êtres" – dont nous sommes –
1
Naissance …
Ou quand la saveur d'une vie peut se faire plus insipide que celle d'une bière tiède.
En cette nuit de mois d'août, la lune éblouissait piteusement les trottoirs cadavériques de la vielle cité française qui avait vu naître et enterrer le poète Arthur Rimbaud. Cela présumait que dans la moiteur environnante, cette année calendaire préparait le jour de saint Eusèbe. Prélude mortifère à un autre, pour des gens persécutés dont l’avenir s’affichait aussi invivable que précédemment. Lors, se préparant à expulser les limbes vers l'ouest, hélios semblait visiblement en manque d’inspiration. Mais comme à chaque fois, sitôt l’ombre gommée, il allait pourtant darder d’autres lances, en direction des pires stigmates que la guerre mondiale infligeait à la face affligée d’une planète sauvagement endeuillée. Pourtant quelques vivants égarés, restes naïfs de civilisation exsangue – malgré l'horreur bien trop visible de partout – y croyaient moins qu’ils ne s’accrochaient encore à l’idée d’un improbable dieu d’amour. Ils allaient bientôt se lever, se laver et se vêtir. Il leur convenait d’honorer comme il se doit ce jour, même s'il s'avérerait fatidique pour quelques-uns d'entre eux. Ils avaient convenu de perpétrer comme on peut, le culte anniversaire d’une conviction nationale religieuse, qui se montrait pourtant de moins en moins salvatrice.
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« C’est l’anniversaire de l'assomption de Marie », avait proclamé Eugenio Maria Giuseppe Giovanni Pacelli, élu pape le 2 mars 1939 sous le nom de Pie XII... Et cela eut lieu... Malgré toute cette haine matériellement visible, et mondialement colportée par le comportement diabolisé de beaucoup des peuples d'humains de la terre. Alors même que Satan parvenait à en vivre viscéralement! L’ange ténébreux existait à la fois par eux et parmi eux. Puisque comme eux, il était lui aussi maculé de tout ce sang noir que l’on chaulait comme se blanchissait dix-huit ans plus tard, à Berlin, le mur de la honte ou encore celui de Gaza, en deux-mille-huit. Mais rien pour autant ne saurait véritablement s'oublier. Et puisqu’on ne savait plus de toute façon où enfouir la haine, sinon qu'en prenant le risque d’exacerber l’esprit d’autres démons encore plus innommables que leur leader… Puisque le sol s’était à son tour vampirisé: l'on s'était finalement résolu à tout garder, caché sous la cendre et les gravats d’une éternité, rendue poisseuse du sel de ses propres torrents de larmes horrifiés.
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En se mêlant peu à peu à des haillons épars, les restes déchirés de quelques nues lourdes de conséquences, se montraient hésitantes à se laisser poinçonner encore. Au sein d'elles, des rais projecteurs s’insinuaient telles des langues de vipères, qui renifleraient le ciel depuis la terre. Elles s'ingéniaient à le fouiller comme s'il s'agissait d'une gueule. Allant jusqu’à démontrer au-delà de ça et de là, que cette monstruosité monumentale émanait bien d’hommes, plus que jamais prédateurs d’eux-mêmes. En bons techniciens porte-flingues, certains opérateurs allaient même jusqu'à éclairer de morbide, les visages exsangues que laissaient encore voir des millions de soldats. Lesquels étaient tombés au champ d’impudeur, pour servir les ambitions de quelques fous furieux commandeurs. Ces pauvres spectres frères, avaient été conçus de chair à canon. – Désormais en décomposition – ce n'étaient plus désormais que des cadavres, tristement allongés dans la fange, pareils à autant de « Dormeurs du Val ». Impuissances occultes, semées parmi ces « glaïeuls pourpres » que constituaient leurs propres restes déchiquetés et sordides.
Pourtant, si l'astre d'argent y participait à sa manière par le renvoi-miroir d’ondes lumineuses, qui finalement se révélaient néfastes, c'était pour mieux informer le ciel des rejets excrémentiels qui semblaient directement issus du ventre-pourri de notre planète tellurique, la renvoyant à ses légions de satanés humains disséminés par le reflux nocturne d'un vomissement plasmique. Celui-là que lui procurait une étoile qui au demeurant en avait vu d’autres. C'est ainsi que la vie tentait d'éclore encore, vautrée dans un sol aussi cratérisé et poussiéreux que celui d'un astre qui ne maquillait plus rien de sa froideur sélène. Laquelle ne réussissait, à l’aide de ce peu d'énergie diffuse, qu'à ranimer la flamme humaine de quelques errants résistants. De pauvres hères, censés représenter ce qu’il restait des êtres pensants. Survivants improbables, car confondus qu’ils étaient, avec l'ombre qui se terrait comme eux dans les profondeurs occultes de Gaïa. ¤ Forme faible et dérisoire, recroquevillée entre les mains gantées latex d’une sage-femme fatiguée, un petit être au teint bleu, lui aussi souillé de sang, venait de paraître: pauvre corps inanimé, dont le mutisme ne promettait guère. Au dehors du bâtiment administratif, un peu de l'atmosphère faussement complice du génocide généralisé, s’était mis à valdinguer dans la turbine égosillée d'une sirène angoissée. Tandis que par le Sud-Est, s'accentuait inexorable, le son d'un vrombissement assassin qui s'amplifiait déjà. Presqu'entièrement conçu à partir de métaux meurtriers, l'essaim monstrueux naviguait au jugé, parcourant un ciel, qui serait bientôt chirurgicalement dépecé par les faisceaux lumineux d'indécents cyclopes. Projecteurs insidieux, sournoisement accouplés à des gueules d'acier, toutes prêtes à cracher les obus meurtriers de la défense contre aérienne... Derrière les fenêtres aveuglées, chacun retenait son souffle. L'on se comportait, comme si l'on voulait à la fois singer le nouveau-né à présent exsangue et appeler au silence. Histoire de se protéger par dérision, d'un ennemi qui vous cherche… On pouvait encore percevoir à ce moment pré apocalyptique, le bourdonnement maladroit d'une mouche à viande. Elle s’était lamentablement fourvoyée derrière l'occultation de toile noire de la baie vitrée. Mais les bords mal ajustés, laissaient tout de même filtrer épisodiquement l'éclaboussure mortelle, des lumières artificielles de visée qui œuvraient déjà en direction du ciel. Étranger à tout cela, l'insecte au corps infect, continuait de se ruiner les ailes sur les vitres désobligeantes de la grande fenêtre. Elle avait été entièrement grillagée de l’extérieur.
… Si ceux qui sont arrivés par l’espace se doivent de repartir par l’espace, en revanche, ceux issus du globe retourneront au globe. C'est ainsi qu'ils entreverront plusieurs fois la lumière des premiers, et même leurs cités…
Le petit être à la peau fripée s'était trop obstiné à vouloir rester dans son monde aquatique. Celui chaud et protecteur du ventre d'où il venait. Il refusait d'instinct qu’on le sépare du placenta nourricier de la mère. Croyant surseoir peut-être ainsi, à la colère d'un horizon de plus en plus zébré par la mouvance des nombreux pinceaux blancs de la DCA. Lesquels projetaient une énergie élancée. Il était aisé de la juger plus inquisitrice et froide, qu'un rasoir sidéral disséquant la peau fanée d'un soleil mourant. Près de la table d'accouchement, la triste clarté d'une lampe à carbure visiblement éméchée, avait trop modestement remplacé la lumière de la lampe à iode. On l'avait promptement éteinte pour la circonstance. C'est alors que chacun ici semblait vaciller dans son ombre gênée. Tandis que ce qui restait d'un ciel de nuit cruellement lacéré dans ses haillons déchiquetés, se mit subitement à vomir de l'acier. Confirmant l’absurdité humaine, puis se concrétisant au sol par un ouragan de feu. Son souffle dévastateur entreprit de véhiculer partout de la poussière étouffante. Puis il se prit à projeter en tous sens, les gravats des maisons éventrées... Dans le local encore debout, car étonnamment intact, l'urgence d'un choix stratégique devenait incontournable. Il convenait certainement de quitter au plus vite la salle d'accouchement, lieu devenu précaire, afin de rejoindre un abri plus sûr. Soudain, une main impatiente gifla les fesses du petit corps inerte. Le visage bleu s’anima enfin. Ouvrant une bouche capable d’engloutir la lune. Le bébé aspirait du même coup, un peu de l’air moite environnant… Mais la douleur consécutive à cette bouffée, pourtant insuffisante d’oxygène, fut ressentie par l'enfant de manière si atroce, que ses pauvres poumons, alors qu’ils avaient enfin consenti à se déployer, se contractèrent aussitôt sous l'effet inévitable d’une abominable sensation de brulure. Une douleur pareille à une déchirure interne. Absolument insupportable. Naturellement, le nouveau-né se mit à hurler… tout en prenant radicalement l'aspect de la vie dans la colère.
De l’autre côté des murs abasourdis, se rappelaient néanmoins les instruments démoniaques de l'apocalypse venue des hommes. Les bombes incendiaires déclenchaient leur feu grégeois. Puis ce fut le jaillissement trop proche pour ne pas être révélateur, d'une lumière aveuglante. Elle fut immédiatement suivie du souffle qu’accompagnait le vacarme d’une violente explosion. Et l’on vit se lézarder les murs, en même temps que se crevait en partie le plafond du dispensaire. Il commença de s'effondrer par plaques entières, dont une pulvérisa l'armoire de verre renfermant les accessoires opératoires stériles. Alors même que les vitres brisées de la grande fenêtre s'éparpillaient à l’intérieur en des dizaines d'esquilles, aussi coupantes que des bistouris :
– Ça n’est pas tombé loin! fit une voix aiguisée par la peur...
Cette inutile précision de la Sage-Femme était assortie d'un sinistre augure qu'elle ignorait: un éclat de l'énorme bombe américaine, tombant sur Charleville-Mézières à côté de sa cible, venait littéralement de décapiter la marraine désignée de Lucien. Celle-ci, qui avait pris la décision fatale de traverser sa cour, dans le but de rejoindre l'abri le plus proche, s’était précipitée d'un pas inéluctable à la rencontre d'une mort violente qui l’attendait sur le pavé.
Les messagers des dieux sont-ils des corps célestes ? Sommes-nous les enfants de leur éternité ? Ensemencerons-nous pour eux l’univers ? En vérité si la fin nous fait présumer un recommencement, c’est que ce recommencement est utile à la fin…
Au commencement absolu, l'invisible ;
Aucun nom, aucune chose de sensible ;
Lorsque se dévoile le vide sans norme:
Le rideau s'ouvre sur l’entité sans forme.
L'Esprit qui but à la source de l’univers,
Puisqu'il est venu d’un loin point noir du néant,
Habiter Gaïa quand fut l'astre exubérant:
Préparait un monde au destin embryonnaire…
L’indiscernable est né d’indicible lumière:
Béni soit celui qui crée un Ciel sur la Terre!
Divinité: viens-tu du val de Lao Tseu?
Pour la vie, le yin, le yang, l’eau dans le feu?
Viendrais-tu de la Première Convergence?...
(Toute la poésie figurant dans ce livre est écrite par l’auteur)
C'est à force de forger que l'on devient forgeron, vous diront peut-être quelques-uns. Mais me semble qu'ils cherchent encore les bons outils pour étayer cette théorie. Sans doute sommes-nous des êtres attachés à des citations et autres dictons? Mais il peut sembler que c'est bien mieux à se poser d’autres questions, que nos ancêtres les plus lointains ont compris que peut-être: quelque chose d'abstrait et de fort fait vivre la matière en lui donnant pleine conscience... C'est alors qu'émergeant à son tour, mais quatre-vingt-neuf ans plus tard que le turbulent Arthur Rimbaud, Lucien était né sous les bombes, à deux pas de l'ex-rue Thiers de Charleville-Mézières… Sans prétention, il n'exclue pas aujourd’hui, la possibilité que l'âme humaine puisse se concevoir sous la forme d’une énergie. Laquelle serait pour son infime partie, représentative de "l'essence divine". Réalisation qui se concrétise donc, selon lui, par des atomes, assemblés par l'informe d'une essence fluctuante. Cela serait donc constitué de molécules, neutres en ions éthérés, et se nourrirait d'aura. S'admettant alors, que ce prolongement spirituel de l'être vivant (à moins que ce ne fut l'inverse!), serait comme "Lui" et par "Cela", doué d’intelligence. Toujours selon notre – Pelleteur de Nuages – "Cela" serait capable de communication télépathique, avec notamment ce qui constitue la conscience qui peut s'obtenir par le fonctionnement mental d'un cerveau suffisamment évolué. Ce serait donc, en quelque sorte, un succédané directement obtenu de la lumière spirituelle. Une entité qui serait issue d'un esprit universel très hautement intelligent. S’admettant qu’ainsi pensé, l'être humain qui en serait muni, aurait à la manière d’un modeste serviteur issu des astres et de la terre, mission d'agir pour le compte de la déité supérieure, et disposerait pour cela de plusieurs karmas.
«Il semble en vérité que la science d'aujourd'hui, remontant d'un trait à des millions de siècles passés, ait réussi à se faire le témoin de ce Fiat lux initial, de cet instant où surgit du néant avec la matière un océan de lumière et de radiations, tandis que les particules des éléments chimiques se séparaient et s'assemblaient en millions de galaxies... Ainsi, la création a eu lieu dans le temps: donc il y a un Créateur, donc Dieu existe!» Pie XII
Dans un proche avenir, il adviendra peut-être que les créations de l’homme s’acharneront à détruire l’homme. Après quoi les messagers des dieux noirs surgiront de partout dans notre galaxie. Ils obscurciront le ciel de notre planète par leur amas, avant de se poser sur les sommets. Alors s’ouvriront leurs ventres de feu. Et puis nous verrons sortir des chrysalides géantes. Elles se métamorphoseront en papillons de malheur, et tout sera consommé, car consumé.
Il existe un lien d’origine cellulaire entre la faune et la flore, et donc conséquemment, il en est aussi quelques autres, qui interagissent comme supplétifs, non seulement par l’humain et les plantes, mais aussi avec, ou par la matière… N’oublions pas que l'organisation de nos cellules eucaryotes résulte de l’intrusion dans leur noyau d’une mystérieuse bactérie qui est probablement à l’origine de notre accès à la vie incarnée: en tant que membre complexe de la faune…
– Pour le prophète, ceci explique toujours cela… émit Lucien de vive voix, comme pour étayer sa pensée.
– À condition toutefois de n’être pas plus cartésien que Descartes lui-même… laissa entendre une voix féminine. Cela semblait provenir d’entre des roseaux situés derrière… Et la voix d’enchaîner: – Toute excuse providentielle, permet aussi de croire par-devers nous aux vertus du magnétisme dit en son temps, animal, par un certain Mesmer, puisque la vie utilise grandement l’électromagnétisme ! … d’ailleurs s'il est vrai que tout poète un tant soit peu naturaliste, parvient à communier d’âme à âme pour "simple" appareil, comme le naturisme avec la flore… Alors, pourquoi ne le ferais-je pas moi-même avec toi ?
– Que… qui donc me parle? Interrogea soudain l’adolescent surpris !
– Vous vivez une époque formidable, poursuivit l’être invisible. Aujourd’hui la science et la connaissance humaines n'ont jamais été aussi fortes... Alors, il arrive que des convictions basées sur des textes anciens se révèlent à présent peu crédibles, par le fait remarquable, qu'elles ont trop souvent en proche, un peu de cette approximation basique qui fut le moteur atermoyant de certaines croyances déjà discutables… Sachant, d’elles-mêmes, qu’elles furent édifiées à partir de présomptions un peu trop hâtives ou providentielles, bien que notablement mythiques… Et puis c'est peut-être, entre autres, pour des raisons moins philosophiques que manipulatrices de crédulité populaire que cela se produit. Ou encore, par carence de discernement dans ce foisonnement de données qui vous parvient aujourd’hui plus sérieusement…
– Ne pourriez-vous simplifier ?
L’évolution constante des technologies physiques, et autres observations astronomiques, est époustouflante, se prit à penser Lucien. Ainsi, l'on peut s'apercevoir que paradoxalement, certaines des pratiques ancestrales dominatrices, ainsi que de nombreuses crédibilités sacrées, qui sont restées basées en puissance sur l’opportunité de l’inculture d’une époque révolue, en prennent à présent un "sacré coup". Mais que pourtant, toute intuition contraire à un ordre établi, peut encore s'admettre. Dès l'instant que le rationalisme des historiens archéologues restera impuissant à expliquer l'inexpliqué!
(à suivre)