La communication télépathique entre un animal et un humain, si elle ne saurait se produire de langage courant n’est cependant pas à proscrire pour autant. Nombreux sont les témoignages qui prouvent qu’elle existe notamment avant, mais aussi pendant, et même… après la mort charnelle. Ceci pour parler ici des liens affectifs envers des animaux domestiques ou non, et dont la forte influence peuple l’état émotionnel de nos vies. Je me souviens de la connivence qui existait avec Nono, une callopsitte à qui j’avais appris à siffler les premières notes de la chanson « oh, oh, oh, jolie poupée » qu’interpréta Bernard Menez.